Ces ondes qui planent sur la tête de nos enfants » 
Le Monde 


Le Monde indique qu’« en février démarre une étude épidémiologique mondiale, Mobi-kids, cherchant à évaluer si les ondes du téléphone mobile provoquent des tumeurs malignes sur le cerveau des enfants ».
Le journal note en effet que « les Français vivent dans un bain d’ondes.

En 2005, l’exposition moyenne dans la vie courante a été évaluée en équipant 400 personnes de sondes portées à la ceinture ». Jean-François Viel, épidémiologiste à Besançon et coordonnateur de l’étude, explique que « la plus forte source provenait de la radio FM, suivie du Wi-Fi et du four micro-ondes. Venaient ensuite le téléphone sans fil et le mobile 3G ».


Le Monde remarque que « depuis 2005, deux facteurs ont changé : la généralisation du Wi-Fi et l’usage exponentiel du téléphone mobile, notamment chez les enfants. C’est justement cela qui préoccupe ».
Le quotidien cite notamment Christian Person, physicien et chercheur au CNRS, qui relève que « les normes ont été développées pour des personnes adultes. Faut-il les remettre en cause ? ».


Martine Hours, coordonnatrice de l’étude Interphone pour la France et qui participe également à Mobi-kids, remarque que « l’exposition massive au téléphone [portable] a 10 ans. S’il y avait un risque du type de celui du tabac ou de l’amiante, on le saurait. Mais statistiquement parlant, il y a toujours un risque de se tromper. L’intérêt est donc de faire beaucoup d’études ».


L’épidémiologiste précise : « Nous allons demander à des neurologues et des neurochirurgiens d’avoir accès à leurs malades âgés de 10 à 24 ayant présenté des tumeurs malignes au cerveau, puis étudier si ces personnes ont eu une plus grande exposition aux ondes que les autres dans leur enfance ».

MS

 

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