« Aimer à perdre la douleur »


Le Figaro


Le Figaro remarque que « la passion amoureuse, qui excite les sens et met dans un état second, aurait aussi des vertus antalgiques, selon une étude américaine » parue dans Plos One.
Le journal explique que deux chercheurs, Arthur Aron, « qui étudie les effets de l’amour sur le cerveau », et Sean Mackey, spécialiste des voies de la douleur, « suspectant que leurs champs de recherche respectifs sont plus imbriqués qu’il n’y paraît, ont bâti une expérience avec 15 jeunes volontaires des deux sexes, dans les tout premiers mois d’une histoire d’amour ».
Le Figaro relève que « grâce à une méthode d’IRM fonctionnelle, les réactions de leur cerveau à la douleur ont été étudiées, selon qu’ils regardaient des photos de l’élu[e] de leur cœur ou une connaissance. Des tests ont aussi été pratiqués pendant une manœuvre de distraction, dont il est prouvé qu’elle réduit la douleur ».
Le quotidien observe que « passion et «distraction» ont eu des effets antalgiques de même intensité, mais empruntant des circuits cérébraux différents ».
Le Figaro explique que « selon les chercheurs, penser à son amoureux active de façon intense les circuits de la récompense, les mêmes que ceux de la cocaïne ou d’un important gain d’argent ».
« Reste à savoir si ces pouvoirs analgésiques persistent après l’euphorie des premiers mois »,
conclut le journal.

 

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