Sommes nous si certains de notre réalité scientifique ?

 

« Une patiente déclarée «cliniquement morte» se réveille »


La Croix, Le Parisien


Le Parisien consacre un article à une femme que « les médecins croyaient morte » et qui « ressuscite ».
Le journal note en effet qu’« une femme de 60 ans, atteinte d’un cancer, est tombée dans le coma à la suite d’une séance de chimiothérapie pratiquée à la polyclinique Bordeaux-Rive droite. [...] Déclarée en état de mort clinique cérébrale, [...] les médecins auraient alors demandé à ses enfants l’autorisation de la «débrancher» ».
« Quelques heures plus tard, la femme sortait du coma et retrouvait vie »,
poursuit le journal, qui note que « la famille envisage de porter plainte ».
Le Parisien cite l’un des fils de la patiente, qui déclare : « On aurait pu signer un accord pour la débrancher et c’est nous qui aurions signé son arrêt de mort. C’est terrible ! Heureusement, nous avons refusé. Le Samu est venu la chercher pour la transporter aux urgences du CHU [de Bordeaux]. Là, un scanner a montré qu’elle avait encore une activité cérébrale, et elle s’est réveillée 14 heures plus tard ».
La patiente, Lydia Paillard, déclare pour sa part : « Je ne me suis rendue compte de rien. J’ai eu l’impression de dormir très longtemps ».
Le journal relève que « du côté de la polyclinique, le directeur général du groupe Bordeaux-Nord-Aquitaine, Yves Noël, estime qu’«il y a eu un énorme problème de communication» ».
Le quotidien cite en outre le Dr Habib Bourguemouna, qui a reçu la patiente pour la séance de chimiothérapie : « Je n’avais jamais vu cela en 30 ans d’expérience. […] Elle présentait un arrêt respiratoire avec tous les symptômes d’une mort clinique cérébrale, sans preuve scientifique. Mais nous ne l’aurions jamais débranchée avant son transfert aux urgences du CHU. Ce que nous avons dit, c’est qu’un acharnement thérapeutique serait inutile ».
La Croix aborde également cette « patiente déclarée «cliniquement morte» [et qui] se réveille ».
Le journal indique que « la direction de la polyclinique va proposer à la patiente et à sa famille de rencontrer l’équipe de médecins afin qu’ils parlent de ce «défaut de communication» ».

MS

 

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