D'après une étude récente publiée dans un magasine à grand tirage ; il apparaît que l'adolescent n'étant pas passé par sa remise en question dite "crise d'adolescence" présente un risque de crise à retardement le faisant entrer dans une zone étiquetée "adulescence".

L'adolescence commence avec une révolution hormonale faisant l'effet d'un cataclysme interne à l'individu.
Cette nouvelle alchimie à la limite du
big bang, engendre souvent une remise en question  des principes d'éducation transmis par les parents ; et encore plus chez les familles recomposées si elles n'y prêtent pas attention.

Il est vrai qu'à cet âge là, il n'est pas question de sortir des sentiers battus mais plutôt de préparer un avenir professionnel avec les études qui vont bien avec.

Il est notable que le cerveau étant saturé, il
déshinibe l'adolescent(e) et lui hôte tous sens d'autopréservation... le cerveau achevant sa construction seulement à 25 ans.
Cela pour arriver à faire toutes ces expériences ( cause : effet... exemple : je fais ceci et bizarrement j'ai passé la nuit au poste de Police.. ) qui l'amèneront à façonner sa personnalité.

Il reste que ce passage de l'adolescence était dans les cultures dites "primitives", un moment de passage et de rites d'initiations. Cela marquait la transition entre la sortie de l'enfance et l'orée de la vie d'homme avec les devoirs et responsabilités qui en découlaient. 

Aujourd'hui
l'adulescent(e) affublé(e) du syndrome de "Tanguy", tout le monde à vu le film, considère comme légitime de cesser d'aller à l'école dès 18 ans.
Pourquoi faire ?
Pour découvrir la vie, surtout quand les parents travaillant tous les deux, sans surveillance.
C'est là que pour certains parents commence un véritable calvaire...
Les mensonges s'enchaînent comme des perles de mauvaise fois, certains vont jusqu'au délit au détriment des parents ( vol des moyens de paiement familiaux,
ect), d'autres créent : un séjour en garde à vue après avoir cassé des véhicules.

La chenille toute mignonne au sortir de l'enfance, qui se crée sa chrysalide pour devenir le papillon tant espéré par ses géniteurs se transforme d'un coup en moule de bouchot fermement accrocher au rocher familiale.
Certaines de ces moules s'inventent un mode de vie ultra moderne dont on n' a toujours pas trouvé l'appellation ;
dodo (entre 5h du matin et 14h), grignotage (trop tôt pour manger)-cafés-clopes(c'est ...qui paie)-téléphone pour savoir si les confrères de l'élevage dorment encore,réflexions intenses et cosmiques sur facbook(les vieux c'est des cons,nanana...), recherche d'emploi sur internet (sites comment gagner des millions en restant à la maison), travailler(connecté sur une application(?)) et s'inventer des idéaux (genre j'aime les mamies ; mais mon hobbies c'est son sac à main)...

Et lors du retour des parents s'ensuivent des conversations de deux types :

- méa culpa (glace au parfum "foutage de gueule" trois étoiles) hebdomadaire

- "non, je ne serait pas complice du système ; il/elle t' a quitté(e) à cause de ton métier et de ses horaires de m... ; alors tu comprends pas pour moi cette vie là!!!"


Comment jeter l'eau du bain sans rattraper le bébé ou le contraire quand on habite au 7eme étage ; le parfum de ciel s'étant estompé depuis belle lurette...


Première solution : relire le conte du Petit Poucet

Deuxième solution : l'inscrire pour un voyage humanitaire dans un pays où ils ne connaissent pas le mot "enfance"

Troisième solution : prendre un premier rendez vous chez l'hypnothérapeute de votre choix pour un rendez vous AVEC la progéniture en question...

Vous souhaitez vivre mieux votre vie, 


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