Stress, le gérer, s'en débarrasser par l'hypnose éricksonienne
07 avr. 2012
Comment le stress rend malade
Le Figaro
Damien Mascret indique dans Le Figaro que « des chercheurs de Pittsburgh [Etats-Unis] ont étudié en détail comment l’organisme de personnes en
bonne santé réagit face à une infection selon qu’ils sont stressés depuis plusieurs semaines ou pas stressés du tout. Le niveau de stress des «cobayes» était évalué grâce à un questionnaire et
lors d’une consultation ».
Le journaliste précise que « pour leur démonstration [publiée dans les PNAS], les chercheurs ont choisi le rhume. […] Le Pr Sheldon Cohen et ses collègues ont évalué le niveau de stress de 125 hommes et 151 femmes âgés en moyenne de 29 ans. La notion de stress prolongé inclut des difficultés durant depuis au moins un mois et entraînant des modifications de la routine quotidienne ».
« Les volontaires ont aussi subi des tests immunologiques au cours des 5 jours d’hospitalisation imposés après l’administration des doses virales de rhume dans les narines. Il s’agissait, pour les chercheurs, d’observer ce qui se passait sur le plan immunitaire dans l’organisme des patients et de surveiller l’apparition ou non de symptômes respiratoires », poursuit Damien Mascret.
Le journaliste rappelle que « le cortisol est une hormone libérée par les glandes surrénales en réponse à une agression et qui a un puissant rôle anti-inflammatoire. Les gens stressés ont habituellement un taux plus élevé de cortisol. Mais cette expérience inédite a montré que leur système immunitaire finit par s’adapter et résister à l’action du cortisol ».
Les chercheurs écrivent ainsi que « ce qui pourrait être important n’est pas le taux de l’hormone elle-même, mais la façon dont les tissus cibles répondent au cortisol ». Damien Mascret explique que« quand le niveau de résistance au cortisol des cellules immunitaires est élevé, cela signifie qu’elles sont en quelque sorte endormies, sourdes au message anti-inflammatoire du cortisol qui leur est adressé ».
Le journaliste s’interroge : « Cet enchaînement serait-il valable pour d’autres maladies ? Il faudra le démontrer, car l’identification du stress psychologique comme facteur de risque pour la santé n’a, pour l’instant, été relevée de façon convaincante que pour les maladies cardio-vasculaires, les maladies auto-immunes, le diabète et la dépression ».
Le journaliste précise que « pour leur démonstration [publiée dans les PNAS], les chercheurs ont choisi le rhume. […] Le Pr Sheldon Cohen et ses collègues ont évalué le niveau de stress de 125 hommes et 151 femmes âgés en moyenne de 29 ans. La notion de stress prolongé inclut des difficultés durant depuis au moins un mois et entraînant des modifications de la routine quotidienne ».
« Les volontaires ont aussi subi des tests immunologiques au cours des 5 jours d’hospitalisation imposés après l’administration des doses virales de rhume dans les narines. Il s’agissait, pour les chercheurs, d’observer ce qui se passait sur le plan immunitaire dans l’organisme des patients et de surveiller l’apparition ou non de symptômes respiratoires », poursuit Damien Mascret.
Le journaliste rappelle que « le cortisol est une hormone libérée par les glandes surrénales en réponse à une agression et qui a un puissant rôle anti-inflammatoire. Les gens stressés ont habituellement un taux plus élevé de cortisol. Mais cette expérience inédite a montré que leur système immunitaire finit par s’adapter et résister à l’action du cortisol ».
Les chercheurs écrivent ainsi que « ce qui pourrait être important n’est pas le taux de l’hormone elle-même, mais la façon dont les tissus cibles répondent au cortisol ». Damien Mascret explique que« quand le niveau de résistance au cortisol des cellules immunitaires est élevé, cela signifie qu’elles sont en quelque sorte endormies, sourdes au message anti-inflammatoire du cortisol qui leur est adressé ».
Le journaliste s’interroge : « Cet enchaînement serait-il valable pour d’autres maladies ? Il faudra le démontrer, car l’identification du stress psychologique comme facteur de risque pour la santé n’a, pour l’instant, été relevée de façon convaincante que pour les maladies cardio-vasculaires, les maladies auto-immunes, le diabète et la dépression ».
MS
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