»
La Croix
C’est ce que se demande La Croix. Le journal indique que « selon le quotidien La Provence, une plainte en justice a été déposée par le père d’un jeune Niçois de 17 ans qui s’est donné la mort en juillet 2007 ».
« Ce suicide pourrait être lié à la prise d’un médicament contre l’acné. La molécule en cause, l’isotrétinoïne, était commercialisée par le laboratoire Roche jusqu’en 2008, année de mise sur le marché de génériques toujours utilisés aujourd’hui »,
explique le quotidien.

La Croix livre les propos de Jean-Luc Schmutz, chef du service de dermatologie du CHU de Nancy. Le spécialiste rappelle que « cela fait des années qu’il y a un débat sur un éventuel risque de suicide avec l’isotrétinoïne. […] Plusieurs études ont été faites, mais avec des résultats contradictoires et sans permettre d’établir de manière formelle l’existence de ce risque suicidaire ».
« Cela étant, même en l’absence de preuve formelle, les dermatologues savent qu’il s’agit d’une molécule à utiliser avec beaucoup de précautions »,
poursuit le Pr Schmutz.

Le praticien note que « les règles de délivrance sont très strictes. […] L’isotrétinoïne est une molécule efficace, qui représente un vrai bénéfice face à ces acnés importantes et impossibles à traiter autrement. La contrepartie, ce sont les effets indésirables du produit. Il y a donc ce risque suicidaire qui, bien que non formellement démontré, doit être pris en compte par le prescripteur ».
« Mais le principal problème de la molécule est surtout son effet tératogène : si une femme prend ce médicament durant sa grossesse, le risque de malformations cardiaques ou cérébrales pour l’enfant à naître est de l’ordre de 20% »,
précise Jean-Luc Schmutz.

MS

 

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