Hypnose Le Havre avec votre hypnothérapeute Dimitri BULAN en RDV à votre domicile (hypnose éricksonienne)

sur Le Havre (06 17 55 32 69) et sa région (+/-45km)

 

Dimitri BULAN, Hypnothérapeute et Praticien en PNL, travaille en consultation à votre domicile sur Le Havre, Octeville sur Mer, Etretat, Fécamp, Cany Barville, Yvetot, Duclair, Vatteville La Rue, Lillebonne, Notre dame de Gravenchon, Pont Audemer, Pont Lévêque, Deauville, Trouville sur Mer, Villerville, Honfleur...

 

 
 
 
 
PNL OU PROGRAMMATION NEURO LINGUISTIQUE :
P.N.L. BANDLER GRINDER DILTS

La programmation neuro-linguistique (PNL) est un ensemble de modèles et de techniques de développement personnel originaires des États-Unis et destinées à améliorer la communication entre individus et à s’améliorer personnellement. Elle peut être employée dans des cadres personnels, ou d’entreprises. Le terme a été inventé par John Grinder et Richard Bandler dans les années 1970 et s’inspire du travail d'autres psychothérapeutes, dont Milton EricksonVirginia Satir et Fritz Perls.

 

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Histoire :

Fondée sur les travaux de John Grinder et de Richard Bandler, la PNL est issue de la pratique de trois thérapeutes :

Son étude a débuté dans les années 1970 aux États-Unis, dans le cadre de leurs études de psychologie à l’université de Santa Cruz (Californie) où John Grinder enseignait la linguistique.

Avant de s’intéresser à la formulation des pratiques de la PNL :

  • John Grinder était linguiste disciple de Noam Chomsky 
  • Richard Bandler était informaticien et mathématicien avec une spécialisation en intelligence artificielle. Lorsqu’il rencontre Grinder, il valide une 4e année en psychologie au Kresge College de l’Université de Santa Cruz.

Principes :

La Programmation est le mot programme quifait référence à l’ensemble de nos automatismes, qu’il s’agisse d’automatismes cognitifs, émotionnels ou comportementaux.

Neuro est le mot en référence aux neurones, ànotre système nerveux central et notre système nerveux périphérique. Ils établissent des corrélations, utiles ou nuisibles, entre nos perceptions.

Linguistique se réfère au langage qui nous permet de communiquer et de structurer notre pensée; il véhicule notre culture.

Selon la PNL, ce que quelqu’un fait, une autre

personne peut le faire (présupposé de la PNL).

Ses créateurs se positionnent ainsi :

« Nous ne sommes pas des psychologues,

nous ne sommes pas non plus des théologiens

ou des théoriciens. Nous n’avons pas d’idée à

propos de la nature "réelle" des choses, et cela

ne nous intéresse pas particulièrement ».

Même si les fondateurs ne considèrent pas leur

domaine d'étude comme une science, ils

utilisent un langage scientifique et des

références scientifiques pour en déduire des

techniques.

Objectifs :

Son rôle :

  • « Observer » des compétences et les approprier 
  • les « décoder » 
  • les « expérimenter » pour créer : des modèles efficients.

Ces « modèles » constituent ensuite une base

aidant à une démarche de progression

épanouissante.

Les modèles visent à faciliter :

  • une connaissance de soi 
  • un accès aux ressources présentes et déjà

acquises par la personne 

  • la création de nouvelles ressources 
  • la transposition d’une ressource d’un contexte (personnel par exemple) à un autre (professionnel par exemple).

La dynamique s’articule :

  • à partir d’un « état présent » 
  • allez vers un « état désiré » 
  • en utilisant les « ressources » passées, présentes, et à venir (imagination) de la personne 
  • en utilisant des techniques héritées des thérapeutes américains (notamment Milton Erickson)

Robert Dilts a été modélisé le 14 mars 2005 à

Montréal sur sa qualité d’être dans la relation.

Cette modélisation a permis de proposer quatre

nouveaux présupposés à la PNL de troisième

génération :

- « Toute personne peut rejoindre le territoire ».

 - « L’identité d’une personne est belle et

paradoxale ».

- « Être en relation profonde, avec moi et avec

la personne, permet de voir et de promouvoir la

beauté de cette personne ».

 - « Le corps et le mental sont reliés à un

champ plus large ». Au-delà du processus et

du contenu, les rituels de changement offertpar la PNL de 3e génération, s’intéressent aux

contenants et aux champs présents dans

l’expérience.

On estime qu’une thérapie ne doit pas durer

plus de six mois, au-delà de cette durée le

praticien PNL se devant d’essayer autre chose

ou d’orienter le patient vers un autre

professionnel plus adapté, voire vers

un psychiatre en cas de problèmes lourds et

résistants, de préférence en essayant

d’organiser un passage de relais des

informations.

Les présuppositions de la PNL :

La PNL repose sur un certain nombre

de présuppositions qui fondent et expliquent

la méthode d'analyse et de modélisation. Les

outils, modèles ainsi que l’éthique sous-

tendant la PNL en découlent. En philosophie,

une présupposition se distingue radicalement

d'un dogme.

Ces présuppositions ont été progressivement

formulées et affinées lors des travaux de

développement de la PNL. Elles résultent d’un

processus de choix pragmatique et

représentent un cadre méthodologique ainsi

qu’une aide pour sa pratique quotidienne.

Les présuppositions de la PNL se répartissent

en deux grandes catégories. La première

catégorie est inspirée de la sémantique

générale, la deuxième est inspirée de

la cybernétique.

La carte n'est pas le territoire :

Il existe une différence irréductible entre une

présumée réalité et l'expérience par un

organisme de cette réalité (reprenant l'idée

de PlatonKorzybski comparait ce rapport

entre celui d'un objet et sa projection).

Chaque personne possède sa propre carte du

monde - dont l'élaboration est déterminée par

sa morphogenèse et son histoire personnelle.

Aucun modèle du monde n'est plus "vrai" ou

"réel" qu'un autre.

Plus que par le territoire ou la "réalité", les

choix d'un individu sont limités par ses

modèles du monde et les réponses possibles

qu'il en connaît.

Des modèles donnant accès à davantage de

choix, ou à des choix plus riches, peuvent se

révéler fructueux.

Chacun bâtit son modèle du monde au travers

de son système nerveux.

Les cartes du monde sont similaires à des

agencements de petits programmes neuro-

linguistiques.

Beaucoup de comportements résultent de

séquences et de combinaisons de patterns ou

schémas neurologiques.

 

Si le pattern est présent alors le

comportement est présent ; si le pattern est

absent, alors le comportement est absent.

Une personne ne peut pas ne pas répondre à ses propres processus internes.

Des patterns neurologiques consistent en des

entrées de perceptions sensorielles et sont

stockées au travers de nos systèmes de

représentations (VAKOG = Visuel, Auditif,

kinesthésique, Olfactif et Gustatif).

 

Les représentations générées par des sources

externes (mémoires) et celles générées par

des sources internes (imagination) partagent

la même neurologie et ont donc le même

impact comportemental.

La connaissance, le sens, les pensées, etc.

sont le résultat de computations internes qui

consistent en chevauchements

(synesthésies), corrélations (équivalences

comportementales) et connections

(associations) entre des systèmes de

représentations.

Le changement et la communication sont le

résultat d'altérations ou d'accès à ces

connections, corrélations ou

chevauchements.

L'esprit et le corps forment un système cybernétique :

Pour chaque pattern neurologique, il existe

une manifestation comportementale co-

occurrente et vice-versa.

Nous ajustons la valeur du signal de

l'information dans nos systèmes de

représentation aux travers d'altérations

comportementales ou d'accès oculaires.

Les programmes neurologiques fonctionnent

sous forme de boucles de feed-back (TOTE)

plutôt que sous forme d'arcs reflex linéaires

de stimulus-réponses.

Le comportement est plus orienté objectif

(téléologique) plutôt que déterminé par le

stimulus (déterministe).

Un pattern d'association (ancres) peut être

établi par une seule expérience par contraste

avec une répétition linéaire.

Il existe une interaction "neuro-linguistique"

profonde entre le langage et nos modèles

neurologiques du monde.

 

Le langage est un Méta-modèle de nos

modèles du monde.

Le langage est un moyen de coder et de

séquencer ces représentations sensorielles; il

est donc une expérience secondaire (structure

de surface) - un pas en deçà de notre

expérience primaire (structure profonde).

La plus grande qualité d'information que

nous pouvons obtenir d'une autre personne

est comportementale plutôt que verbale.

 

Le langage est un système de représentation

qui est produit par la même neurologie qui

produit nos systèmes de représentations

sensoriels. De ce fait, les mêmes principes de

structure se retrouvent dans le langage tout

comme dans les systèmes de représentations.

Les capacités individuelles sont fonction du

développement et du séquençage des

systèmes de représentation.

Certains systèmes de représentations sont

plus appropriés ou utiles que d'autres pour

certaines fonctions.

Les gens ont tendance à développer et

valoriser certains systèmes de

représentations pour certaines fonctions.

La quantité de compétences, ressources et

capacités que nous avons est directement

proportionnelle au degré de développement

de nos systèmes sensoriels.

Comme les êtres humains partagent les

mêmes systèmes de représentations de base

il est possible pour tout être humain

d'organiser et d'accéder à ses représentations

de façon à recréer ou approcher tout

phénomène humain. Il est donc possible de

modéliser et de transférer toute compétence

humaine d'une personne à une autre.

Les gens possèdent déjà toutes les

ressources nécessaires (au moins

potentiellement) pour agir efficacement. Le

changement vient de la libération et du

déclenchement des ressources appropriées

(ou de l'activation de la ressource potentielle)

pour un contexte particulier en enrichissant le

modèle du monde individuel.

La santé mentale est fonction de la capacité à accéder à toutes les capacités représentationnelles de telle sorte que la personne puisse répondre adéquatement à une variété de contextes et d'environnements.

La conscience est un phénomène limité.

Les individus peuvent maintenir sept plus ou moins deux "éléments" d'information dans leur conscience à chaque instant.

Le type d'élément va déterminer comment une expérience est ponctuée.

Congruence de codage :

Plus les relations entre les éléments de la

carte reproduisent les relations de l'objet

cartographié, plus la carte sera efficace et

écologique. (Par exemple si des relations

linéaires sont utilisées pour représenter

quelque chose qui présente des relations

systémiques, le modèle sera peu efficace et

peu écologique).

Les interactions biologiques sont

systémiques (cybernétiques) plutôt que

linéaires.

Les interactions humaines forment des

systèmes cybernétiques

Les interactions humaines ne sont pas

fonction de chaînes linéaires de stimulus-

réponse mais de boucles systémiques

de feedback.

On ne peut pas ne pas communiquer.

Aucune réponse, expérience ou

comportement n'a de sens en dehors du

contexte dans lequel il a émergé et dans le

contexte de la réponse qu'il déclenche.

Tout comportement, expérience ou réponse

peut agir comme ressource ou limitation en

fonction de la séquence, ponctuation ou

contextualisation.

Il n'y a pas d'erreurs, mais des objectifs; il n'y

a pas d'échec, mais du feedback.

Les systèmes cybernétiques sont orientés

vers l'adaptation.

Le but de tout comportement est adaptatif

(possède une intention positive) - ou fut

adaptatif dans le contexte où il fut établi à

l'origine.

Les systèmes cybernétiques sont organisés

en différents niveaux logiques de structure.

Les règles de changement et de renforcement

d'un niveau ne seront pas semblables à celles

d'un autre niveau. Ce qui est positif à un

niveau peut être négatif à un autre niveau.

Il est important de trier les différents niveaux

des interactions, Il est utile de séparer les

comportements de l'identité - de séparer

l'intention positive, fonction, croyance, etc.

qui génère le comportement du

comportement lui-même.

Le changement le plus écologique provient

du fait de répondre à l'intention du

comportement et non à l'expression du

comportement lui-même.

Tout changement de comportement doit

préserver les sous-produits positifs de l'état

présent.

Les gens font le meilleur choix qui leur est

possible tenant compte des possibilités et

capacités qu'ils perçoivent comme leur étant

disponible à partir de leur modèle du monde.

 

Tout comportement aussi brutal, fou ou

bizarre qu'il puisse sembler, est le meilleur

choix pour cette personne à ce moment étant

donné son modèle du monde. Si on lui fournit

de meilleurs choix (dans le contexte de son

modèle du monde) la personne le choisira

automatiquement.

Le sens de la communication est donné par la

réponse qu'elle déclenche, quelle que soit

l'intention du communicateur.

Loi de la variété requise :

La part du système qui présente le plus de

flexibilité sera l'élément catalyseur ou

contrôleur du système.

Dès qu'il existe des comportements que vous

ne pouvez pas générer, il existe des réponses

et donc des objectifs que vous ne pouvez pas

produire.

Si ce que vous faites ne déclenche pas la

réponse que vous recherchez, alors continuez

à varier vos actions jusqu'à déclencher la

réponse désirée.

Les comportements efficaces sont organisés

en TOTE (Test-Operation-Test-Exit).

Les comportements ont un objectif futur fixe.

Ils ont les évidences sensorielles nécessaires

pour déterminer de manière efficace la

progression vers l'objectif.

Ils ont un ensemble de moyens variables pour

aller vers l'objectif et la flexibilité

comportementale pour implanter ces choix.

Techniques de bases :

L'ancrage :

Le processus dit d’ancrage est un processus

simple et naturel qui consiste à associer un

état interne (émotion, ressenti) à un stimulus

externe d’au moins un des cinq sens (ouïe,

vue, odorat, toucher, goût). Ensuite la simple

existence du stimulus suffit à faire revenir

présent à l’esprit toute l’expérience, et ceci

qu’elle soit bonne ou mauvaise !

L’exemple le plus célèbre d’ancrage est un

ancrage olfactif décrit par Marcel PROUST.

L’auteur décrit comment tous les souvenirs de

son enfance reviennent à son esprit alors qu’il

déguste une madeleine comme celles qu’il

appréciait étant enfant ! (cf. À la recherche du

temps perdu)

La PNL a modélisé ce mode d’association que

notre cerveau connait pour en faire un

processus conscient et très rapide.

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