« Un antidépresseur impliqué dans la tuerie familiale de Pouzauges »


Le Parisien

Le Parisien note que

« pour la première fois en France une affaire pourrait directement impliquer un antidépresseur dans le déclenchement d’une tuerie ».
Le journal indique en effet que
« l’enquête sur le drame du 31 mai, à Pouzauges, en Vendée, dans lequel Emmanuel Bécaud, un médecin de 34 ans, est soupçonné d’avoir tué ses quatre enfants puis sa femme, avant de se donner la mort, se centre sur le rôle qu’a pu jouer dans cette folie meurtrière un médicament antidépresseur ».

 

 

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Le Parisien précise que « les enquêteurs ont des soupçons car des effets secondaires gravissimes de ce produit ont déjà été signalés [dans d’autres pays]. Aux Etats-Unis, des tribunaux ont eu à se pencher sur des cas de «folie meurtrière» de patients qui prenaient cet antidépresseur ».
« Les enquêteurs français sont d’autant plus tentés par cette piste que rien dans le parcours du médecin de campagne de 34 ans ne permet de comprendre le déclenchement d’un tel accès de violence »,
ajoute le journal.
Le Parisien relève que les autorités sanitaires sont « préoccupées » par ce sujet et « s’intéressent de près aux risques d’explosion de violence liée à la prise d’antidépresseurs ». Le quotidien rappelle que
« la France détient le record du monde de prise d’antidépresseurs avec 5 millions de patients ».
Le journal publie enfin un entretien avec Guy Hugnet, écrivain et ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, qui estime qu’« il est urgent que le ministère de la Santé enquête. Le jour où les langues des patients vont se délier, on va prendre la mesure de l’étendue des dégâts ».
Le quotidien cite une « source proche de l’enquête », qui explique que « les analyses toxicologiques effectuées sur le Dr Bécaud ont révélé qu’il prenait de la sertraline. Nous n’avons pas trouvé trace d’autres produits dans son organisme. On soupçonne ce médicament d’avoir été l’étincelle qui a mis le feu aux poudres et a déclenché le massacre ».

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