Comment l’amour se niche dans les neurones 

 
Le Figaro  

Le Figaro fait savoir qu’

« une équipe de neuroscientifiques suisses a décrypté les circuits du désir dans le cerveau ».


Le journal explique que « Francesco Bianchi-Demicheli et ses collègues de l’université de Genève, ont fait passer des IRM fonctionnelles à une trentaine de femmes dont la moitié souffrait d’un manque de désir. Simultanément, les chercheurs leur ont diffusé des images érotiques ou neutres pour voir ce qui se passait ».
« Ils ont alors remarqué que les femmes à la libido en berne avaient une activation beaucoup moins forte des régions profondes du cerveau normalement impliquées dans les émotions, comme si elles avaient plus de mal à associer les images érotiques à des souvenirs agréables ».


Le Figaro explique que cette étude suisse 

« définit tout un réseau cortical dont le chef d’orchestre, le lobe pariétal inférieur, semble beaucoup (trop ?) s’activer en cas de manque de désir. Du coup, des régions cérébrales impliquées dans des fonctions cognitives supérieures telles que l’image du corps, les pensées sociales seraient exagérément présentes par rapport aux femmes sans problème de libido ».
« Les neurosciences rejoignent le modèle du désir perturbé par des considérations qui ne sont pas directement liées à la qualité du partenaire, mais au fait, par exemple, d’être focalisé sur ses complexes, ses défauts physiques ou d’autres préoccupations au sens large »
.


Francesco Bianchi-Demicheli précise enfin qu’

« il faudrait faire des études basées sur des stimuli auditifs, car ils sont, chez beaucoup de femmes, associés à des hauts niveaux d’excitation ».

MS

 

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