cocaïne et dépendance par l'hypnose ericksonienne Le Havre Paris
24 janv. 2011Cocaïne : sortir de la dépendance »
Le journal rappelle que « si la consommation de ce psychostimulant reste loin derrière celle du cannabis, […] elle touche désormais toutes les catégories sociales. Plus d’un million de Français auraient expérimenté la cocaïne au moins une fois. Et 250 000 s’y adonneraient plus ou moins régulièrement ».
Le Figaro note qu’« à long terme, 20% des consommateurs deviennent dépendants, avec potentiellement une kyrielle de complications psychiques et somatiques : dépression, crises d’angoisse, paranoïa, infections, accidents cardio-vasculaires, troubles neurologiques, respiratoires… ».
« En Europe, l’addiction à la coke représente aujourd’hui un cinquième des prises en charge en addictologie », ajoute le quotidien, qui cite un rapport de 2010 de la HAS, qui précisait que « la demande de soins reste faible car les consommateurs de cocaïne ne se reconnaissent probablement pas dans l’image de toxicomanes que renvoie la fréquentation d’un centre spécialisé ».
Le journal interroge le Pr Marc Auriacombe, addictologue au CH Charles-Perrens et au CHU de Bordeaux, notant que pour celui-ci, « l’un des éléments les plus fondamentaux de la prise en charge est le travail de fond, éducatif et psychothérapique, sur la notion de «perte de contrôle» dont souffrent les toxicomanes. Et le Pr Auriacombe de citer en particulier le craving, besoin irrésistible de consommer de la drogue, qui est particulièrement important avec la cocaïne ».
Le spécialiste explique que « les patients sont déroutés par le craving, mais n’ont pas forcément une conscience explicite du craving. Il est donc très important de leur expliquer que ce qui leur arrive n’est pas de leur faute et que c’est bien connu ».
Le Figaro indique que « sur le plan médical, il n’existe pas de traitement de substitution spécifique à la cocaïne ». Le Dr Laurent Karila, praticien au centre d’addictologie de l’hôpital Paul-Brousse (Villejuif), souligne que « le traitement de base, c’est une quadrithérapie en deux temps ».
Le journal évoque ainsi « une phase de sevrage courte (de 3 à 4 semaines), avec une prescription de N-acétylcystéine à forte dose, associée à quelques séances de psychothérapie de type entretien motivationnel. Une fois ce cap passé, vient la phase de prévention des rechutes. […] Avec ce protocole de quadrithérapie, l’équipe de Villejuif obtient un taux d’abstinence de 65% au bout d’un an ».
Le Figaro note toutefois que « pour le Pr Auriacombe, l’idéal est d’envisager la prise en charge sur une période beaucoup plus longue, 5 voire 10 ans », le psychiatre indiquant que « le recul est fondamental. Beaucoup d’échecs sont dus soit à un excès d’optimisme ».
Dans tout changement il faut 21 jours au cerveau pour s’adapter, intégrer une nouvelle habitude de fonctionnement, gérer un nouveau comportement.
Cette règle a été constaté dans les sixties par le DR Maxwell MALTZ (Psycho Cybernetique) lors du suivi de ses patients dans la période post opératoire.
C'est le temps ratifié, 21 jours, pour accepter un changement dans sa vie. D'autres études menée par la Nasa ont démontré que face à différentes situations imposées (comme le port de lunettes d'inversion des repères dans l'espace).
Se débarrasser d'une mauvaise habitude en une heure de temps, c'est la porte ouverte à la casse...à la dépression...
Donc ma méthode de travail, en départ de changement, est simple :
-Une séance de travail de deux heures (Programmation Neuro Linguistique puis Hypnose Ericksonienne) toutes les semaines.
- Quinze minute de conversation de suivi au téléphone en milieu de semaine.
- Possibilité d'une séance de travail d'une heure au téléphone au moment d'une crise.
Là, le comportement se modifie par la récurence des suggestion pour désamorcer le comportement.
Et cela jusqu'à satisfaction et ratification du changement total sur une fréquence moyenne de trois mois.
En travail téléphonique, l'agencement des séances d'une heure (en moyenne) de travail se fait à raison d'une en début de semaine et une seconde en fin de semaine. Ensuite en fonction des changements, elles seront de l'ordre d'une toutes les semaines.
NOTA :
Toute séance non annulé par téléphone et 24 heures
avant ; reste facturée dans l' intégralité.
Vous souhaitez vivre mieux votre vie,
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