Quel deuil pour les mort-nés ?
04 janv. 2011
Libération
C’est ce que se demande Libération, qui observe sur une double page que « parce que le deuil périnatal est tabou, une association [Petite Emilie] aide les parents de bébés mort-nés ou ayant dû subir une interruption médicale de grossesse tardive ».
Le journal note ainsi que « depuis 1 an, une cérémonie a été mise en place par les services de la Ville de Paris
», Libération rappelant que « l’inhumation dans les jours suivant le décès n’est une obligation
que pour les bébés qui sont nés puis décédés, pas pour ceux qui sont nés morts. Quand c’est l’hôpital qui prend en charge la crémation, les parents repartent après accouchement les bras vides,
puisque le corps est confié au service qui doit s’en occuper ».
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