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« Un anxiolytique ? Trois mois, pas plus ! »

 

Le Parisien note sous sa rubrique « santé » que « la Haute Autorité de santé confirme l’intérêt des benzodiazépines, mais préconise de ne pas les prendre plus de 90 jours ».
Le journal souligne en effet que « 7 millions de Français ont eu recours en 2014 à la prise d’un anxiolytique. Pour 16% d’entre eux, ce n’était pas la première fois qu’ils en avalaient. Le geste est devenu une indispensable béquille, et le cachet de Xanax ou de Lexomil un compagnon quotidien, dont ils imaginent d’autant moins se passer que l’arrêter expose à des symptômes de sevrage réels (du cortège maux de tête-cauchemars-irritabilité aux plus graves hallucinations) ».
« Sans le savoir au départ peut-être, sans le vouloir sans doute : ils sont devenus accros, comme on l’est à une drogue. La dépendance aux médicaments dits benzodiazépines […] est un vrai problème, auquel les autorités de santé tentent de s’attaquer depuis… les années 1990
 », constate Le Parisien.
Le quotidien relève donc que « la HAS s’attaque en ce début d’été aux anxiolytiques, qui représentent la classe la plus consommée de cette grande famille des benzodiazépines. La commission de la transparence de la HAS dévoilera ce matin son rapport évaluant l’intérêt thérapeutique de 11 de ces médicaments vendus en France, prescrits pour venir à bout de l’anxiété, en agissant sur le système nerveux central ».
« Pas de déremboursement en vue cette fois : l’avis émis par la HAS reconnaît que ces molécules ont un intérêt thérapeutique qui n’a pas à être «remis en cause» »,
 souligne le journal.
Le Parisien précise toutefois que « leur consommation chronique au long cours pose un réel problème de santé, soulignent les experts. Troubles de la mémoire, baisse de vigilance (sans parler de somnolence), risque accru de chutes chez les personnes âgées : ces benzodiazépines, dont on n’arrive plus à décrocher, ont des effets indésirables loin d’être négligeables, qui augmentent au-delà de quelques semaines ».
« Leur utilisation doit dès lors être limitée à 12 semaines (réduction de doses comprise), souligne la HAS, qui assortit son rapport d’une fiche de bonnes pratiques destinée aux médecins traitants. Dès l’instant où ils rédigent leur ordonnance, estimant le traitement nécessaire pour l’un de leurs patients, ils devraient lui expliquer à la fois les effets secon­daires et déjà parler sevrage. […] Mais, entre ces recommandations et la réalité du vécu des patients, il y a un fossé difficile à combler », observe le journal.

 

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