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Jeux sexuels avec un(e) pervers(e) narcissique : 
VIOLENCE CONJUGALE: 
«Fifty Shades of Grey», un roman à condamner?

Actualité publiée il y a 13 jours
Journal of Women's Health

Alors que le roman érotique « Fifty Shades of Grey » de l’auteur britannique Erika L. James s’est vendu à plus de 70 millions d'exemplaires, ces auteurs de l'Université du Michigan s’élèvent contre les descriptions de pratiques sexuelles impliquant la soumission des femmes, le sadisme et le masochisme, qui, concluent-ils, contribuent à perpétuer l’esprit de violence contre les femmes. Ces descriptions-mêmes qui ont contribué à en faire un best-seller et qui sont loin, écrivent les auteurs, « d’être libératrices pour la sexualité des femmes dans un contexte culturel hyper-refoulé ».

Amy Bonomi, professeur agrégé et président du Département des études familiales de l'Université du Michigan, affirme, en conclusion de son étude, publiée dans le Journal of Women's Health, que «Cinquante Shades of Grey » apôtre d’une violence psychologique et sexuelle omniprésente, dirigée contre le personnage principal féminin, Anastasia, perpétue l’idée d’une violence ordinaire contre les femmes. La réalité, rappelle-t-elle, est qu’une femme sur 4 sera victime, au cours de sa vie de violence commise par un partenaire intime. Amy va plus loin et soutient que « le caractère érotique aurait pu être obtenu sans ce thème de la violence ».

Les chercheurs ont effectué une analyse systématique très fouillée du roman en regard des définitions de la violence conjugale telles que proposées par les US Centers for disease Control and Prevention (CDC) et des réactions du personnage, en regard des réactions connues chez les femmes victimes de violence. Ils montrent qu’Anastasia éprouve des réactions similaires à celles des femmes victimes, éprouve un sentiment constant de menace et de perte d’identité et va jusqu’à modifier ses comportements pour maintenir la paix dans la relation. Le personnage finit par adopter des comportements mécaniques pour éviter toute violence de la part de son partenaire.
L'abus chronique de substances, la jalousie, et les problèmes de santé mentale sous-jacents, présents dans le couple du roman, sont caractéristiques d'une relation de violence, écrivent les auteurs. La jalousie est un point de bascule crucial vers la violence conjugale. Tout comme la consommation d'alcool omniprésente, dans des contextes sexuels et non sexuels, et pour gérer l’anxiété. Tout comme la manipulation utilisant des traumatismes de l'enfance…
Alors qu’Anastasia est décrite comme éprouvant du plaisir, lors de certaines interactions sexuelles du couple, l’analyse montre qu'au contraire, qu’elle est confuse et terrifiée et qu’elle aspire en réalité à une relation normale, « les débordements » de ces activités sexuelles se déroulant sous la contrainte, l’intimidation ou avec l’aide de la consommation d'alcool.

Conclusion des auteurs, le roman reflète une violence conjugale omniprésente, et contribue à perpétuer « l'un des plus grands problèmes de notre temps » dans la culture populaire. Ils précisent que Fifty Shades a été interdit dans les bibliothèques publiques de plusieurs États américains.

Source: Journal of Women's Health doi:10.1089/jwh.2013.4344 August 11, 2013

 


 

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